Rechercher quelque chose dans Mon Arbre. Le Douaire.

Translate

jeudi 19 février 2015

Avez vous trouvé le petit chat sur la photo?


Au plus rapide..






Où se trouve le petit chat sur cette image ? 


Trouvé ? 

Oui mais en combien de temps ?





Le Douaire...

Les bienfaits de la Terre, du sol, du jardin, sur la santé, le corps et l'esprit : hortithérapie.

Les bienfaits de la Terre
du sol, du jardin, sur la santé.



 «Quand la terre et le jardin vous soignent et protègent»
 
La terre, le sol et le jardin bon pour la santé et l'esprit.

C’est toujours une sensation unique lorsque, juste avant un orage, la terre vous délivre ses parfums qui vous enivrent ensuite dès que les premières gouttes de pluie frôlent un sol chaud et fumant.

Vous avez là un début de ce qui suit, oui, nous nous éloignons trop de nos « racines » nous évoluons de plus en plus vite (si on peut dire) mais nos sens et notre corps restent en décalage sincère avec cette rapide évolution.

Aussi, renouer avec les éléments naturels est bien plus qu’une thérapie, c’est une véritable prévention.


D’une pensée bouddhiste :


Toucher la Terre est une pratique qui nous permet de rentrer en contact profond avec la Terre, le cosmos et avec nos racines et nos ancêtres.
 Nous réalisons que nous ne sommes pas seuls mais reliés à une multitude d'ancêtres génétiques et spirituels.

Nous sommes leur continuation, et, avec eux, nous continuerons le chemin dans les générations futures.

Nous touchons la Terre et une partie de la Vie.

            Quand nous touchons la Terre, nous redevenons petits, nous retouchons l'humilité et la simplicité d'un enfant.
 Quand nous touchons la Terre, nous devenons grands comme un vieil arbre avec ses racines bien profondes dans le sol buvant à la source universelle.
Quand nous touchons la Terre, nous inspirons toute la force et la stabilité de la Terre et nous expirons toutes nos souffrances, notre chagrin, notre colère, notre haine, notre peur et toutes nos frustrations...

 
Le simple fait de toucher la terre et la sentir réveillent les sens:
l'hortitherapie.



A un acte de santé (hortithérapie)


Depuis des milliers d’années, nous avons bénéficié du lien qui maintenait la nature et la médecine ensemble.

 Le jardinage peut être un outil pour la médecine, les bienfaits ont été reconnus scientifiquement (par exemples : augmentation de la production de vitamine D3 (D) par l’exposition au soleil, certaines bactéries du sol peuvent améliorer notre santé…).

Dans un jardin, les saisons vont changer ses aspects et il ne sera jamais à l’identique.

 Il y a de l’attente quand vient l’automne, on voit les feuilles tombées puis vient la neige et là, on espère qu’elle fondra au plus vite pour revoir ce joli vert, jeune et puissant des nouvelles pousses de l’année.

 Quand on travaille avec le végétal, nous sommes aussi plus humbles face à la frustration car nous travaillons avec du vivant.

 Malgré notre envie de tout gouverner, de maîtriser la nature, nous savons qu’elle a aussi son « libre arbitre » et beaucoup de choses peuvent échapper à notre contrôle.

 On cherchera à savoir ce qui n’a pas marché pour cette plante et nos idées pour l’aider grandiront avec elle.

Le sol, le jardin, la terre développent les 5 sens.


Et un développement des sens :



Par l’aménagement et la gestion d’un jardin, nous pouvons stimuler tous les sens.

L’ouïe  par le bruissement du vent dans des végétaux choisis, par l’eau qui ruisselle, par les oiseaux et autres êtres vivants…

L’odorat par le parfum des plantes, par l’herbe fraîchement coupée, par l’odeur du bois utilisé en paillage, l’odeur de la terre humide…

La vue  par les couleurs, la forme géométrique des sculptures, la verticalité des végétaux ou au contraire des parterres couvrant une certaine superficie...

Le toucher par la texture des végétaux, le cheminement qui peut être parfois du sable, des galets, des copeaux de bois ou des lattes de bois, la texture des sculptures, bois, roches...

Le goût par l’introduction de plantes comestibles (attention de ne pas les mettre avec certaines qui sont toxiques) que l’on récolte et avec lesquelles d’autres activités sensorielles sont par la suite rendues possibles.

 Un partage des fruits de l’année lors d’une rencontre intergénérationnelle dans des maisons de retraite est tout à fait possible et tout de suite bien plus accueillant.



*** C’est aussi une science et des soins qui s’appelle l’hortitherapie (Quezako ca ???)

*Qu’est ce que l’hortithérapie ?

La thérapie par les plantes médicinales ?

Pas du tout ! L’hortithérapie est une thérapie qui s’intéresse à l’action du jardinage sur le corps, l’intellectuel, le psychisme et le mental.


Alors simplement, aujourd’hui, touchez la terre et faite la glisser entre les doigts.

Puis reprenez votre chemin jusqu’au prochain jardin.

Bien à vous,

CD


Une terre en bonne santé, un être en bonne santé, un beau jardin.
Sur la photo une citation de Pierre Rabhi.


Une remarque, une question ???

 N’hésitez pas dans commentaires  ci-dessous, un plaisir de vous répondre,

Échangez et vivre.



Le Douaire...

mercredi 18 février 2015

Tout savoir sur le cotonéaster; Cotoneaster : origine, culture, plantation, maladies : lequel choisir : Cotoneaster microphylla; Cotoneaster horizontalis; Cotoneaster lacteus; Cotoneaster franchetii : Culture Lorraine, Canada, Belgique : OK.

Le cotonéaster

 Cotoneaster




 « Des feuilles, des fruits : rustique : pratique»


C’est un classique des haies et autres bordures, vous n’en n’avez pas encore, mettez vous y, il est rustique, plastique.
Il peut être rampant ou arbustif, couvrir ou arpenter.
Bref, à votre choix feuilles, couleurs, baies.
Au bonheur de vos oiseaux auxiliaires et autres insectes (hiver compris).
Au Douaire, ils sont répartis sur l’ensemble du Domaine en fonction de la sélection que vous trouverez ci-dessous.

 
Le cotonéaster : rampant, droit, grand petit : à vous de choisir.


C’est quoi son nom ?

Le terme Cotoneaster provient du grec kydonion ou du latin cotoneus qui signifie « coing » et du suffixe latin -aster, «qui ressemble à».

D’où viennent il ?

Les cotonéaster sont originaires en partie de l'ouest de la Chine, mais aussi d'Europe et du Moyen-Orient.

Ses feuille :
Voir ci-dessous en fonction des cultivars :  les différents attraits.

Ses Fleur, entre autres.

Elles peuvent être blanches à roses, mellifères, au printemps.

Et ses fruits :
     Ils sont appelés : drupes : ils sont arrondies, rouges, mûrissant de septembre à fin              octobre.

Son Exposition :

Choisissez un emplacement au soleil de préférence ou, à défaut, à mi-ombre.

Son sol (le votre…)

Vous pouvez planter le cotonéaster dans tout type de sols sauf dans ceux où l’eau stagne.

Il pousse vite ?
Ci-dessous un exemple de la vitesse de croissance du cotonéaster (moyenne) en cm.

plantation
   +1an
   +2ans
   +3ans
Croissance au
bout de 3 ans
   +4ans
   +5ans
   +6ans
90 
100
130
140
+50
140
 200
 210




Rustique… ??? 

Plante rustique jusqu’à -25 °C environ, elle peut être cultivée en extérieur dans toutes les régions françaises.

Certaines variétés de taille moyenne sont bien adaptées à la culture en pot ou en jardinière.

Ses maladies… Ses ennemis :

Les cotonéasters peuvent subir quelques attaques de pucerons ou cochenilles et rarement de chenilles défoliatrices.

 Enfin, certaines variétés sont très sensibles au feu bactérien.
·                       Contre les pucerons, au printemps, quelques pulvérisations d’eau savonneuse dès le début de l’attaque devraient régler le problème.

·                       Contre les cochenilles, en période de chaleurs sèches prolongées, faites des brumisations préventives du feuillage.

·                       Contre les chenilles défoliatrices, moins faciles à éliminer, il existe quelques méthodes de luttes naturelles. Intervenez dès les premiers signes pour les éliminer facilement.

·                       Enfin, en cas de feu bactérien, le plus simple et efficace pour éviter sa propagation rapide est d’éliminer les parties atteintes (ou l’ensemble du plant) et de les brûler sans tarder. 

La plantation du cotonéaster

 

Le cotonéaster rampant, souvent utilisé dans un talus ou une pente.


Quand planter votre cotonéaster ?



Plantez-le de préférence en automne ou, à défaut, au printemps.


Comment je le plante ?



·                                 Creusez un trou de diamètre 4 à 5 fois supérieur à celui de la motte que vous allez planter.

·                                 Émiettez la terre qui a été retirée. Vérifiez qu’il n’y ait plus de morceaux, type cailloux ou morceaux de bois.

·                                 Mélangez cette terre avec du terreau plantation et un amendement organique du type fumier et algues.


Vous pouvez également ajouter du sable si votre sol est peu drainant.


·                                 Mettez la motte dans un seau d’eau afin de réhydrater la terre et les racines de l’arbre.
·                                 Griffez les racines légèrement et sans les abîmer afin de les détacher les unes des autres si elles sont trop croisées.

·                                 Mettez un peu d’engrais organique en granulé au fond du trou.
·                                 Disposez votre arbre au milieu du trou en prenant soin d’étaler les racines au fond.

·                                 Comblez le trou avec le mélange que vous avez préparé (terre + tourbe + amendement)
·                                 Tassez légèrement le sol.

·                                 Arrosez abondamment (et pendant les 2 premières années)…


A noter …. Pour les arbres ou arbustes de plus d’1 m de haut, il faut mettre un tuteur.
Cela évite qu’il ne se plie et se casse sous l’effet du vent, cela maintient également les racines au sol le temps de l’enracinement. 


La taille du cotonéaster



Q C
Quand Comment


Quand et Comment le tailler ?



Le cotonéaster n’exige que peu de soins.

 Pour lui conserver un port harmonieux et équilibré, on coupera les pointes des rameaux qui dépassent de la silhouette ou de la forme finale voulue.

Chez les arbustes au port dressé – commeCotoneaster lacteus – qui peuvent être cultivé en haie libre de 2 m comme en haie taillée, coupez les plus longs rameaux sur les formes libres pour provoquer le départ de nouvelles branches près de la souche ou sur le tronc

 La taille des haies basses s’effectue au printemps, elles peuvent être rabattues jusqu’à 50 cm.

Le cotonéaster, les fleurs ont un intérêt pour les yeux
mais aussi pour les abeilles.


Conseils écologiques/ économiques




Multiplier le par bouturage.. Comment faire :


Le bouturage se pratique en automne pour les variétés à feuilles persistantes (profitez de la période de taille) et au printemps pour celles à feuilles caduques (mai pour Cotoneaster horizontalis).

·                       Prélevez une dizaine d’extrémités de rameaux, pour un taux de réussite d’environ 8/10, avec si possible une crossette à sa base (courte portion de tige portant chaque rameau).

·                       Pratiquez une entaille longitudinale inférieure de l’écorce sur toute la longueur de la crossette.

·                       Si vous avez de l’hormone de bouturage, vous pouvez y tremper la crossette.
·                       Après avoir supprimé les feuilles inférieures de chaque bouture sur environ 10 cm, plantez-les à 7 cm environ de profondeur dans un mélange de terreau et de sable.

·                       Placez l’ensemble en pépinière sous châssis jusqu’au printemps.
·                       Repiquez-les ensuite chacun dans un conteneur pour mise en place définitive à l’automne 1 an ou 2 après.



A noter :
Plantez des haies de cotonéasters dont les fleurs attireront les insectes butineurs et les fruits nourriront les oiseaux.
Il fait partie intégrante d’une haie entomofaune.

Les Z allergies, le pollen ????
Rien à craindre pour lui.


BREF : Jardin pour les N…

Le cotoneaster est une très bel arbuste à l’allure décorative.
l’entretien, de la plantation à la taille est très facile et l’effet est garantie.

Hauteur à maturité : 0,5-1 m
Largeur à maturité : 1-1,5 m
Zones climatiques France :méditerranéen, océanique, moyen, continental
Rusticité : rustique
Composition du sol : normal, argileux, calcaire, sableux, terre de bruyère, riche en humus
PH du sol : neutre, acide, alcalin
Humidité du sol : normal
Exposition : soleil, mi-ombre
Utilisation en jardin : massif, rocaille, couvre-sols, berge
Couleur feuille : vert
Feuillage : persistant

Couleur des fleurs : blanc
Période de floraison : mai
Période
de plantation : Toute l'année (hors gel)
Niveau de soin : très facile
Arrosage : normal
Attributs : mellifère, parfumée
Utilisation : jardin
Fruits : pas comestible
Saison d'intérêt : printemps, été, automne, hiver

La sélection du Douaire

Variétés rampantes
Cotoneaster microphylla
Feuillage persistant.
Port rampant, environ 0,50 m de haut, très tapissant.
Très bien pour rocaille ou des talus

Cotoneaster microphylla le classique
 rampant pour talus et pente.
*********************************************************************
Variétés de taille moyenne
Cotoneaster horizontalis
Petites feuilles vertes puis orangé en automne, caduques.

Floraison très mellifère. 

Nombreux fruits.
Port buissonnant étalé 0,80 m de hauteur × 2 m de largeur.
Très bien pour haie basse, rocailles ou talus.

Cotoneaster horizontalis de taille moyenne
la répartition de ses feuilles sont un attrait en plus
******************************************************************* 
Variétés érigées de grande taille

Cotoneaster lacteus
Feuilles persistant vert profond sur le dessus et grisâtres en dessous.

Grappes de fruits rouges.
Port en boule 3 à 4 m en tous sens.
Convient pour haies libres ou taillées.

Cotoneaster lacteus son feuillage est un attrait en plus.
************************************************************ 
Cotoneaster franchetii
Feuillage vert bleuté persistant et luisant sur le dessus. 

Fleurs rose en bouton puis blanches groupées en corymbes (très mellifères) de juin à juillet.

Nombreux fruits en septembre octobre.
Port retombant. 3 à 4 m de haut, jusqu’à 5 m.
En haie libre ou en arbuste isolé.

Variété particulièrement décorative.

Cotoneaster franchetii à choisir pour sa grande taille et ses baies



Le Douaire compte   9   cotonéaster dans sa partie Haies et en isolé. 





Une remarque, une question ???

 N’hésitez pas dans commentaire  ci-dessous, un plaisir de vous répondre,

Echangez et vivre.


Le Douaire...




**EXCLUSIF :  ** Le Douaire.**

                Suivez un arbre Année par Année.

                                   Depuis sa plantation sur le Douaire.

                    
 
Suivez l’évolution d'un arbre : 
Ci-dessous vous allez suivre :
Cotoneaster franchetii




Ci-dessous vous allez suivre :

Cotoneaster franchetii


2013 
Cotonéaster franchetii planté sur le Douaire en Mars 2013.
Ici photo d'Octobre 2013.


2015
Cotonéaster franchetii ici photo de juillet 2015.


 









Le Douaire...