Rechercher quelque chose dans Mon Arbre. Le Douaire.

Translate

lundi 10 octobre 2011

Que faire au jardin en Octobre ( fruitiers, rosiers; plantes intérieurs , potager...)


Que faire au jardin : 


  ************ En octobre ***************************


Retrouvez ici les principales choses à penser à faire en ce mois d'octobre... même si l'été a pris le temps l'automne et l'hiver n'en seront que plus rapides....
Vous avez d'autres petits conseils à rajouter ? N' hésitez pas à les publier dans commentaire en fin du post...

Les fruitiers

Cueillez les kiwis, ou Kiwai, très rustique, ce petit
kiwi est délicieux même avec la peau : le douaire.

Cueillez les dernières pommes et poires qui ne sont pas encore tombées.


Cueillez les kiwis et taillez sévèrement en même temps.


Cueillez votre raisin.


Cueillez les dernières framboises et taillez un peu en même temps.



C'est aussi l'époque des noisettes, des noix et des châtaignes.


Taillez vos ronciers.


Plantez les arbres fruitiers dits " à noyaux": abricotier, pêcher, brugnon...

Les rosiers

Rosiers et autres rugueux, enlever les fruits (voir sur ce
blog les recettes) et fleures fanées. 

On enlève les fruits sauf ceux utilisés pour la décoration comme le rosier rugueux .

Retirez: les feuilles tombées au pied car elles risqueraient d'y abriter des parasites et maladies.


Les fleurs

 Non cela n'est pas fini, même l’automne et l'hiver vous aurez d'autres fleurs, mais pour celle que vous avez déjà profité : 


On coupe les fleurs fanées (cosmos, rose trémière, dahlias ...).
On tuteure les cosmos et dahlia.
On plante les chrysanthèmes, les pensées et surtout tous les bulbes de printemps.
On plante aussi les végétaux de terre de bruyère.
On enlève les cannas, les dahlias et tous les bulbes gélifs.
On attend les premières gelées pour profitter encore du feuillage et des fleurs.
On divise encore les plantes vivaces.
On sème les pois de senteur.

Les plantes gélives, plantes d'intérieur

On rentre les plantes gélives en pot.
On les entrepose au sec, à l'abri du gel et au frais si possible.

Les plantes vertes seront rentrées au chaud.

Les arbres et arbustes



C'est une saison favorable pour planter, la terre étant encore chaude, les racines auront le temps de s'installer avant l'hiver. On plante, les haies persistantes (conifères, bambou, lonicera, cotoneaster...) et les haies fleuries (groseiller à fleurs, forsythia...)

Le potager

En automne, octobre, c'est le moment à préparer, conserver pour l'hiver
et même préparer, déjà, pour le printemps : la Douaire Lahayville.


En octobre, on récolte citrouille, potirons et autres cucurbitacées.
On les stocke sur de la paille sans les choquer.
Les haricots secs, les carottes, radis noir et betteraves devraient aussi être prélevés.

On sème encore les radis à l'abri en tunnel ou chassis, la mâche, les choux et épinards de printemps, la laitue d'hiver en pleine terre, .
On divise encore la ciboulette.
On bêche la terre en introduisant fumier et compost.

 Et n'oubliez pas de conserver les graines de vos annuelles et autres (économique et surtout... ce sont les vôtres...) 




Le Douaire...

lundi 26 septembre 2011

Mûrier blanc à feuilles de platane Morus alba 'Macrophylla' : Conseils, culture, maladie, plantation.. tout savoir sur le mûrier


Mûrier blanc à feuilles de platane 
Morus alba 'Macrophylla'




Le mûrier commun (blanc à feuilles de platane) :
Le Douaire Lahayville.

Vous le voyez peut être souvent dans les parcs et jardins sans vraiment savoir de quoi il s’agit.
Il pousse rapidement, ses feuilles sont larges et originale, idéal pour pousser rapidement et avoir de l’ombre ( vous pouvez l’accompagner pourquoi pas de Paulownia ou Copalme c’est ce que nous avons choisi au Douaire).

Il vous donnera des fruits comme les mûres de votre jardin, personnellement je trouve le fruit excellent et vous pouvez en faire bien des choses.
Juste que le fruit tache ; oui c’est l’inconvénient , mais assis sous son ombrage  et y cueillir quelques fruits en remplacera bien cela.
Sur une courte période ; changer d’arbre quand les fruits commencent à tomber….  On se complique bien la vie aussi… ^_^


La feuille du Mûrier commun  Blanc : Le douaire.
Famille : Moracées  (comme le fruit à pain par exemple)….

Origine : le murier blanc serait originaire, d'après les botanistes du XIXème siècle de la zone Chine, Inde, Japon. 

Introduction : le mûrier blanc aurait progressé vers l'Occident en même temps que la soie par l'intermédiaire des caravanes qui acheminaient les épices et les tissus précieux. Cette progression vers l'ouest aurait duré du IIème siècle au XIIIème siècle. 

Description : le murier blanc est un bel arbre au port pyramidal qui peut atteindre une quinzaine de mètres. 

Feuillage : les feuilles de murier blanc sont caduques, cordiformes et plus ou moins dentelées selon le cultivar. Contrairement aux feuilles du murier noir, elles sont tendres et glabres ce qui explique leur prédominance pour nourrir le ver à soie. Les feuilles de murier sont très polymorphes; on va rencontrer, selon les lieux, des muriers blancs avec des feuilles profondément échancrées et d'autres avec des feuilles modestement dentelées. A la cassure, les tiges et les feuilles laissent échapper une sève laiteuse et collante (latex). Le feuillage est abondant et donne une ombre très dense. 

Floraison : elle a lieu en avril-mai; ce n'est pas l'attrait principal du mûrier blanc, ces fleurs qui ressemblent un peu à des chatons ne sont pas spectaculaires. Le murier blanc porte à la fois des fleurs mâles et femelles; il est auto fertile. 

Fruits : les mures apparaissent en juin-juillet (selon le climat local); elles peuvent atteindre la taille d'un pouce d'enfant et ne doivent pas être confondues avec les fruits des ronces sauvages de nos contrées. A maturité, les mures sont juteuses, très sucrées, d'une saveur douce bien typée. Leur couleur est d'un blanc laiteux avec des nuances rosées-pourpres plus ou moins marquées. On les consomme fraîches ou bien encore en gelée ou en sirop. 

Récolte : les fruits sont récoltés à maturité, l'idéal est de maintenir sous l'arbre un sol parfaitement tondu, les fruits mûrs y tombent sans se salir et on peut aisément les ramasser. Si on élève des vers à soie, ce sont les feuilles que l'on récolte dès qu'elles atteignent la taille de la main. L'arbre destiné à la production de feuilles ne sera pas conduit en haute tige, mais en haie basse pour des raisons évidentes de facilité de cueillette. 

Autres variétés : on trouve principalement le murier noir Morus nigra qui est cultivé pour ses fruits dont il existe de nombreux cultivars et le Morus rubra, originaire d'Amérique du nord, (Missouri). A côté de ces espèces utiles, on trouve maintenant de nombreuses variétés horticoles destinées à faire des arbres d'alignement; les jardins des pavillons et les parkings en sont les principaux utilisateurs. Autre variété cultivée en Chine depuis la nuit des temps : le murier à papier, Morus papyrifera. C'est l'écorce cette fois-ci qui est utilisée et donne un papier d'une qualité remarquable. 

Utilisations : mis à part sont effet ornemental (notable quand même pour son feuillage magnifique, jaune et doré en automne), le murier blanc est cultivé depuis de milliers d'années pour nourrir les chenilles du Bombyx mori, le ver à soie. Ici ou là, on le cultive pour en récolter les fruits et dans toute la Gasgogne et le sud-ouest où les magnaneries familliales étaient nombreuses jusqu'en 1914, on le plante traditionnellement au milieu des poulaillers où les fruits sont très appréciés de la volaille. Les petits oiseaux aiment bien les fruits, eux aussi, mais la production est tellement abondante... Le bois du murier est très dur, très dense, cassant, avec des couleurs et des veinures remarquables qui en font un bois recherché en marquetterie. Dans le sud-ouest de la France, on commence à le planter comme arbre de rapport pour le bois. Les turcs se sont fait une spécialité des fruits séchés du murier blanc dont ils sont les principaux producteurs. On peut trouver quelquefois ces barquettes de mûres séchées dans les épiceries turques. 

Résistance au froid-Rusticité : bien qu'originaire des régions les plus tempérées, le murier blanc pousse bien chez nous, grosso modo dans la même aire que la vigne. Lors de grands froids, les extrémités les plus minces des rameaux peuvent geler mais les bourgeons repartent sur toute la ramure. Les sujets adultes résistent sans problème

 à -15° 

Nature du terrain : le mûrier pousse bien en tous terrains. 

Exposition : plein soleil, éviter les zones balayées l'hiver par des vents glacés. 

Besoins en eau : le murier du ver à soie est gros consommateur d'eau, mais rassurez-vous, à part la première année où il faudra l'aider à s'enraciner par des arrosages abondants (comme tous les jeunes arbres), vous n'aurez pas à vous inquiéter de l'arrosage des muriers adultes. Le système racinaire des muriers est tellement puissant qu'il ira chercher l'eau là où elle est, même très loin. C'est donc un arbre à éloigner des constructions ! 

Taille : si vous élevez le ver à soie, taillez votre murier dès la plantation en haie basse de façon à n'avoir qu'à étendre la main pour récolter les feuilles. La saison des vers à soie finie, le murier continue de pousser, traitez-le alors comme une haie et tondez-le au taille-haie avant qu'il ne fasse des branches trop dures. Le murier est très vigoureux avec un feuillage très abondant. Les pousses de l'année peuvent être tellement grandes qu'un vent violent peut les casser. Si vous voulez un bel arbre de plein vent, agissez comme pour un pommier en formant une tige et en aérant l'intérieur de la ramure pour former un gobelet. 

Multiplication : le murier du ver à soie se multiplie par marcottage éventuellement; aussi par boutures semi-lignifiées (en juillet), mais surtout par semis de graines fraîches. Le semis fera bien sûr apparaître le polymorphisme propre au genre morus, alors que le bouturage conserve toutes les caractéristiques du pied-mère, mais au, fil du temps, il apprauvrit le patrimoine génétique de la plante. 

Fertilisation : un engrais universel de type 17.17.17 déposé au fond du trou (pas en contact avec les racines) au moment de la plantation convient bien au murier blanc, que la plantation soit destinée à la feuille pour nourrir le ver à soie ou pour produire des mures. 

Ennemis : les tous jeunes plants de quelques centimètres de haut sont un met de choix pour les escargots et les limaces. Dans certaines contrées, des cicadelles peuvent trouer les feuilles, mais sans conséquences. 









Le Douaire compte   2    Mûriers commun platane.





Le Douaire...

lundi 2 mai 2011

2011 : DANGER sécheresse... premier Etat des lieux.


Par notre référent MÉTÉO Jean Claude D. ^_^



Un hiver très froid suivi d’un été caniculaire, et si ce phénomène était un échantillon de ce qui nous attend pour les prochaines décennies.

Nos habitudes, nos plantations, doivent en tenir compte.


Le spectre de la sécheresse de 1976 est déjà évoqué par les spécialistes


2011, le spectre de la sécheresse se confirme.


Nous vivons le 3ème début d'année le plus chaud en Lorraine depuis 1946 et les spécialistes tout comme les agriculteurs évoquent déjà les sécheresses de 1976 et 2006 et s'inquiètent pour les prochains mois.

Le déficit de pluie du début d'année (2 fois moins de pluie que lors d'une année normale) associé à une douceur extrêmement précoce n'impose toutefois pas encore en Lorraine de restriction dans la consommation d'eau.

Pascal Duchêne, adjoint délégué du bassin Rhin-Meuse, évoque une baisse du niveau des nappes phréatiques mais ne peut parler encore de sécheresse.


La Lorraine et la Champagne Ardenne parmi les premières régions françaises touchées par la sécheresse. Il n'est tombé qu'un tiers des précipitations habituellement enregistrées pour un mois de mars sur la bassin Rhin - Meuse.
Une situation qui reste préoccupante.
Au plan national, la ministre de l'écologie Nathalie Kosciusko Morizet annonce la création d'un comité spécial sécheresse qui se réunira toutes les 6 semaines à partir de la mi mai. 


Et vous, que feriez vous face au risque de sécheresse ?

alors que le risque de sécheresse se manifeste déjà dans plusieurs départements, 86 % des Français interrogés se montrent prêts à changer leurs habitudes (arrosage, lavage de voiture, bain etc...) afin de réduire leur consommation d’eau, 43 % étant même disposés à d’importants changements
Ifop a tout récemment réalisé un sondage pour Alouette FM sur le thème suivant : « Les Français face au risque de sécheresse ».
La sécheresse de 2011 pourrait être catastrophique et pire que
1976, nos habitudes de consommation d'eau ayant explosée.

L’étude a porté, du 19 au 21 Avril, sur un échantillon de 1010 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération.
Selon le sondage, alors que le risque de sécheresse se manifeste déjà dans plusieurs départements,  86 % des Français interrogés se montrent prêts à changer leurs habitudes (arrosage, lavage de voiture, bain etc...) afin de réduire leur consommation d’eau, 43 % étant même disposés à d’importants changements.

"alors que le risque de sécheresse se manifeste déjà dans plusieurs départements, 86 % des Français interrogés se montrent prêts à changer leurs habitudes afin de réduire leur consommation d’eau, 43 % étant même disposés à d’importants changements "

A la question : Si les pouvoirs publics annoncent qu’il y a des risques de sécheresse dans votre région pour les prochains mois ou semaines, avez-vous l’intention de changer vos habitudes (arrosage, lavage de voiture, bain etc...) afin de réduire votre consommation d’eau ?
86% de l’ensemble des sondés répondent par la positive contre 14% de réfractaires. L’intensité de cette prise de conscience est plus forte chez les 65 ans et plus (49 % prêts à changer de manière importante contre 31 % parmi les 25/34 ans), dans le Grand Ouest, déjà concerné dans certains endroits par la pénurie d’eau (48 % contre 41 % en Ile de France et 42 % dans les autres régions françaises) mais aussi, et assez logiquement, parmi les sympathisants écologistes (55 %), selon les résultats.
Depuis janvier, les pluies sont globalement déficitaires en France, avec toutefois quelques nuances régionales : l’arc méditerranéen qui a connu des pluies abondantes en mars échappe ainsi à cette situation de sécheresse.
Le 18 avril 2011, le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) a annoncé qu'au 1er avril « environ 58% des [nappes phréatiques] affichent un niveau inférieur à la normale ». Une situation hétérogène d'une région à l'autre. Le lendemain, Météo France confirmait que la France connaît actuellement une sécheresse météorologique marquée sur une grande partie du territoire.

Les agriculteurs sont eux aussi inquiets à un moment où la végétation est en pleine croissance et que le besoin de reconstituer des réserves de fourrages est vital pour certains éleveurs fortement pénalisés cette année par la flambée des prix des céréales. La crainte d'une sécheresse intervient dans un contexte mondial déjà affecté en 2010 par des incidents climatiques, en particulier en Russie, où la sécheresse a été historique mais aussi en Australie, où les inondations ont fortement dégradé la qualité de la récolte.
«  Le financement des retenues de substitution par les agences de l’eau est contre-productif, car l’objectif premier est l’atteinte du « bon état des eaux », aussi bien en qualité qu’en quantité.  Or ces réservoirs d’eau pérennisent justement les cultures les plus gourmandes en eau et la monoculture, qui ne peut se passer de nitrates et de pesticides, alors même qu’il faudrait encourager à cultiver des espèces moins gourmandes en eau », explique Bernard Rousseau, ancien président et responsable des politiques de l’eau à FNE.
De son côté, Jean-Claude Bévillard, responsable des questions agricoles à FNE, note : « Nous demandons l’arrêt du développement des retenues de substitution et de leur subventionnement public, le respect des volumes prélevables et un plan ambitieux de développement de filières agricoles alternatives nécessitant peu d’intrants, à commencer par un financement de l’agriculture de Haute Valeur Environnementale. »


Les spéculations de la bourse sur les céréales, la viande,
feraient exploser les prix avec la sécheresse.



Le Douaire...

vendredi 8 avril 2011

RECETTE SOUPE (velouté) d'ortie.

Ingrédients pour une soupe d'ortie
Les recettes mami : soupe d'orties.

2 litres d'eau
500 g de feuilles d'orties
ne mettez pas les tiges !
500g de pommes de terre
beurre ou matière grasse végétale
crème
sel, poivre, origan
croûtons aïllés

Conseil du Douaire...

Pour l'apéritif,
ouvrez une bouteille de vin de sureau




Choisissez les feuilles en haut des tiges.

Bien rincer le feuilles d'ortie, faire chauffer le beurre, mettez les orties à fondre.
Une fois qu'elles on changé de couleur, ajoutez l'eau et des pommes de terre coupées en cube
laissez cuire 30 minutes
réservez un peu de jus de cuisson
passez au mixer
ajoutez du jus, selon l'épaisseur désirée.
Salez, poivrez, mettez l'origan
ajoutez la crème fraîche
laissez à feu doux

Préparez vos croûtons : tranchez du pain,
frottez de chaque côté avec de l'ail,
passez les croûtons à la poële

Servez la soupe d'ortie dans les assiettes à soupe
Si vous avez des enfants, il sera difficile de leurs faire goûter ce potage d'ortie... Vous pouvez toutefois leurs dire qu'ils seront des héros si ils le font, et qu'ils pourront le raconter à leurs amis à l'école !

En plus, avec les couleurs fluos.... faites vous plaisir....


Le Douaire...

Faire et utiliser du purin d'ortie....

Faire et utiliser du purin d'ortie...

Fabrication et ingrédients


Pour la fabrication du purin d'ortie il faut faire macérer dans 10 litres d'eau (eau de pluie préférable) 1,5 kg de feuilles d'orties hachées (choisir des pousses jeunes et non montées à graines).
Au bout d'une quinzaine de jours, filtrer la macération.

Faire et utiliser le purin d'ortie, le Douaire Lahayville.

Selon l'utilisation souhaitée :

·    diluer avec de l'eau de pluie 2 litres de purin pour 10 litres d'eau (en pulvérisation sur le sol contre les maladies cryptogamiques -champignons, algues, lichens- comme le mildiou). Avec ce dosage, vous pouvez également utiliser la préparation en activateur de croissance grâce à la richesse en sels minéraux;

·    diluer 1 litre de purin pour 10 litres d'eau (en insecticide -principalement les pucerons- pulvérisation fine sur les feuilles);

·    sans dilution, le purin d'ortie fourni un bon activateur de compost.

L'odeur, pas vraiment agréable, durant la macération est tout à fait normale. Vous pouvez conserver votre purin dans un récipient hermétique, à l'abri de la lumière et à 18-20°, durant quelques semaines.

Attention, comme tous les produits de traitement, fût-il naturel, un surdosage de purin d'ortie peut s'avérer nocif.

Laisser un coin d'ortie dans votre jardin, un vrai paradis pour vos auxiliaires du jardin....

RICHE EN VITAMINES et bien d'autres bienfaits pour la santé...
ICI les RECETTES MAMI du Douaire ... UTILISER L'ORTIE en Cuisine....

Le Douaire...

vendredi 1 avril 2011

Que faire au jardin en Avril...

Tout le monde connaît ce bon vieux dicton : " en avril ne te découvre pas d'un fil ! ", à cette époque de l'année, douceur et froideur peuvent encore alterner. Entrez avec prudence dans le jardin en avril !


En avril, les premières chaleurs et les averses réchauffent la terre et l'herbe commence à repousser sérieusement.
Les dernières finitions et préparations de votre serre : Le Douaire.

Les bulbes plantés à l'automne tout comme les vivaces et les arbustes printaniers sont maintenant en fleurs. Narcisses, jonquilles, tulipes, muscaris, pivoines, giroflées, phlox, anémones, forthisias, cytise, viburnum... le jardin en avril prend ses couleurs et ses parfums. Le potager aussi reprend vie, il faut le maintenir propre, enlever l'herbe et faire la chasse aux escargots et aux limaces qui festoient dans les jeunes plantes.

Les 7 gestes essentiels à faire pour le jardin en avril :

Taillez et fertilisez vos rosiers, le Douaire.

1 - N'attendez pas que l'herbe soit trop haute pour tondre le jardin. Contournez les pâquerettes (qui justement fleurissent à Pâques !).
2 - Tuteurez les vivaces hautes (arums) du jardin pour éviter qu'elles se couchent en cas de fortes averses.
3 - Taillez et fertilisez les rosiers avec un engrais à décomposition lente (poudre d'os).
4 - Jusqu'au 15 avril, vous pouvez planter vos arbustes de bruyère.

5 - Sarclez et binez soigneusement les lignes de légumes déjà installées afin que les plants se développent au plus vite.
6 - Désherbez les allées en enlevant les grosses touffes de mauvaises herbes à la main et en raclant la terre avec une binette. Évitez le désherbant !
7 - Luttez contre les parasites en effectuant des traitements bio dans le jardin.

Dans le potager du jardin en avril : semez et repiquez !

- Éclaircissez les semis du mois dernier (carottes, radis).
- Semez des petits pois et des haricots nains.
- Plantez les artichauts et les oignons.
- Pensez à mettre quelques lignes de pommes de terre primeurs (rattes).

Les fleurs du jardin en avril : plantez les bulbes d'été !

- Créez vos massifs d'été en plantant des bulbes dans le jardin en avril (bégonia, anémone, freesia, lis, glaïeul, canna, dahlia...). Introduisez des bulbes dans les massifs de vivaces.
- Pensez à planter des bulbes dans des pots ou des bacs, plus particulièrement bégonias, dahlias nains, lis, eucomis, calias et oxalis.
- Diversifiez les espèces de dahlias, toutes plus étonnantes les unes que les autres (nains, mignons, pompons, cactus, décoratifs, topmix...).
- Poursuivez les semis de fleurs dans le jardin en avril : belles de jour, campanules, lavatère, euphorbe, lupin, saponaire... Semez des bisannuelles, même si elles ne fleurissent que l'an prochain (myosotis, pensées).
- Installez des clématites (pied à l'ombre et tête au soleil) et des passiflores.
- Pour les fruits du jardin en avril, attendez que les premières fleurs s'ouvrent pour tailler (en douceur) les pêchers.


Le magnolia en avril : le Douaire Lahayville.


La plante du jardin en avril : le magnolia
Réputé pour sa floraison somptueuse, le magnolia est un des joyaux du jardin d'avril. Au printemps, avant même l'apparition des feuilles, ses fleurs s'ouvrent en coupes élégantes et parfumées. Pour le mettre en valeur, le planter en solitaire et lui associer des bulbes à fleur bleu foncé (magnolia aux fleurs blanches) ou de couleur claire (magnolia rose). Rustique, il se cultive facilement mais craint les étés chauds et secs. 
Le magnolia « Suzan » est un joli arbuste compact et touffu de 2 m de haut. Ses somptueuses fleurs pourpres sont légèrement parfumées.

Notre petit conseil : choisissez une exposition à mi-ombre et à l'abri des vents.

Besoin d'une vidéo : un lien ci-dessous des jardins de Laurent (en 3 parties).


http://www.youtube.com/watch?v=i5CTPDVAJAs
 
En Avril, tout se confirme pour votre jardin....
 
Mon Arbre .... Le Douaire....

lundi 21 mars 2011

Comment "se proteger" du nuage radioactif de Fukushima.

Comment essayer de se proteger du nuage
radioactif Fukushima : le Douaire.

Est-il possible d’avoir une protection naturelle de la radioactivité ?

La première des protections naturelles contre la radioactivité devrait être l’alimentation, à part l’éviction d’exposition élevée, bien sûr. Des chélateurs de métaux radioactifs existent comme les fibres notamment la pectine, les alginates, les phytates et la zybicoline que l’on trouve naturellement dans l’alimentation.

Comme la radioactivité est un phénomène naturel courant, il existe bel et bien des mécanismes naturels de défense. Cependant, en cas d’excès cela devient évidemment difficile de se protéger efficacement de la radioactivité.

Le Ginkgo biloba est l’arbre qui après les bombes nucléaires au Japon a repoussé le plus vite grâce à sa grande résistance.
Malheureusement, une explosion nucléaire n’est pas la plus grande menace d’être irradié. Être irradié est un phénomène courant qui peut participer à expliquer l’épidémie de cancer que nous vivons. Sceptique ? Une étude a été réalisée pour voir quel polluant est le plus problématique entre le mercure, le plomb, le cadmium et l’uranium.

 Les prélèvements ont été effectués sur des passants dans la rue dans 3 grandes villes. L’uranium sort en tête haut la main, la moitié des personnes sont concernées par une doses excessive.
Nous n’allons pas lister les causes possibles à cette intoxication qui sont très nombreuses et très controversées, car des enjeux politiques et financiers colossaux sont en jeu.

Nous allons faire juste la liste des aliments à privilégier pour mettre toutes ses chances de son côté, à condition que ceux-ci ne soient pas irradiés.
Les algues contenant l’alginate de calcium arrivent en première place pour se protéger des radiations, notamment :
  • la Kelp,
  • la Dulse,
  • les algues bleu-vert dont l’Aphanizomenon flos aqua très injustement contestée en France uniquement.
Les aliments protégeant des irradiations suivants contiennent de la pectine :
  • la pomme,
  • le soja,
  • la graine de tournesol et bien d’autres.
Le miso contient la zybicoline également protectrice.
Des aliments contenant des phytates sont aussi intéressants :
  • les céréales complètes
  • les haricots,
  • les pois.
Les fibres alimentaires insolubles et tout ce qui contient de la cellulose et de la lignine est aussi bon à prendre. Les plantes apportant du soufre et des anti-oxydants permettent aussi de détoxiquer. En clair, il s’agit des légumes (brocoli, chou, chou-fleur et radis, betteraves, ail, ginseng, oignon) des fruits et de nombreux végétaux comestibles, même s’ils sont sauvages.
Côté règne animal, il n’y aurait que le pollen récolté par les abeilles qui serait utile… vous aurez compris, le pollen fait évidemment parti du règne végétal !
Les produits carnés et les laitages pourraient contenir de fortes doses d’iode 131 et de strontium 90 tous les deux radioactifs.

L’action de l’iode sur la thyroïde en fait la première cible de la radioactivité. L’iode radioactif fixé par la thyroïde est responsable de troubles de cette glande, ce pourquoi on sature la thyroïde avec des comprimés d’iode non-radioactif ou de la teinture d’iode mise sur la peau à défaut.

Comme les aliments pour la radioactivité sont avant tout les algues, il serait souhaitable de vérifier l’absence de contamination d’autres polluants chimiques non-radioactifs. Seulement, il est bien rare d’avoir ce genre de préoccupations, même par les temps qui courent.

Concernant le fait de boire du vin, il est difficile de trouver la véritable réponse, à savoir cependant qu’ une étude Américaine qui s'intitule: Countering Urban terrorism in Russia and the USA 2006 prouverait, en effet, à la page 145, que cela pourrait être bénéfiques contre les radiations, les auteurs mentionnent qu'en 2004 une alerte nucléaire mineure à proximité d'une centrale à déclenché un mouvement de panique de la population qui s'est mise à ingurgiter ses pastilles d'iode et à boire du VIN pour se prémunir des radiations.
Pour la petite histoire, les cas d'empoisonnements à l'iode n'ont fait qu'ajouter à la panique...

Essayer de ne pas sortir ou limiter les deplacements de mardi à vendredi (à  suivre en fonction de l'évolution et le déplacement du nuage).

 Et surtout par temps de pluie.

Ne recuperer pas l'eau sur cette periode (pour plantes et autres).

Ranger, abriter et proteger faune / flore autant que possible.


Nuage de Fukushima : Le douaire lahayville.


A suivre en vidéo :

La création du nuage :


Les prévisions sur l’évolution et le déplacement du nuage :



Souvenez-vous : évolution en avril 1986 du nuage de Tchernobyl.


et 10 ans après :






Mon arbre. Île de Terre sur Terre : Le Douaire...

lundi 21 février 2011

Confiture Rugosa... avec les fruits du rosier rugosa.

A     TaBLE... ^_^

700g de chair de fruits de "rosier rugosa"
200 g de figues séches
700g de gelsuc



Confiture Rugosa avec fruits du rosier rugosa Le Douaire.
 -Aprés les avoir débarrassé  de leur pédoncule,
mettre les fruits dans une casserole et verser de
l'eau juste à niveau


-Porter à ébullition et laisser cuire quelques mn,
pour que les fruits ramollissent bien

-Donner un coup de mixer-plongeur puis passer
les fruits au moulin à légumes "grille fine"

-Peser la pulpe obtenue, la mélanger avec le
même poids de sucre, ajouter les figues coupées
en deux et cuire selon le mode d'emploi du sucre,
le temps de cuisson pouvant être diminué si le
mélange obtenu est fort épais.

Les rosiers "rugosa" forment des buissons ou des
haies , les fleurs ressemblent aux fleurs simples
des aubépines; les fruits devraient être cueillis
aprés avoir subi une petite gelée mais cette année
avec cette météo pas trés normale, beaucoup de
fruits ont pourris et les autres sont "ramollos" avant
même d'avoir vu le gel, il était donc temps de les
cueillir...pour faire cette délicieuse confiture en
utilisant la générosité de dame Nature.

 L'apport de figues n'est pas obligatoire, c'est la 1ére année
où j'en mets, c'est un + !

Les fruits sont remplis de grosses graines il faut
absolument se servir d'une grille fine pour les
éliminer car le mixer est innefficace.Les petits grains
qu'on peut apercevoir sur la photo sont des grains
de figues.

Bon Appetit... il a dit....

Retrouvez toutes les infos sur le Rosier Rugosa et sa culture en CLIC ci-dessus....

Le Douaire...

mercredi 16 février 2011

Que faire au jardin et au verger en Février....

Fruits

Plantation

Les bulbes : le douaire Lahayville.
Terminez vos plantations d'arbres à racines nues.

Entretien

Taillez les framboisiers et les pêchers. Terminez les traitements d'hiver à base d'huiles blanches sur les arbres qui ne donnent aucun signe de réveil.
Pulvérisez préventivement de la bouillie bordelaise sur les pêchers afin de les prémunir de la cloque. Traitez tous les arbres à noyau contre la moniliose.
Achevez la taille des arbustes à petits fruits (groseillers, cassissiers).
Bouturez la vigne, les kiwi (actinidia), figuiers, les cassissiers et les groseilliers.

Récolte

Aucune.

Légumes

Plantation

Par temps clément (hors gel), plantez échalote et pommes de terre à raison d'un plant tous les cinquante centimètres.

Semis

Navets et radis sous abri chauffé. Oignons en pleine terre, si cette dernière n'est pas trop gorgée d'eau. Brocolis. Chou-fleur en début de mois; à mettre en place début avril.
Semez en place les fèves, les petits pois et le panais.
Pensez à commander les graines qui vous manquent.

Récolte

Endives, épinards, mâche, oseille. Derniers choux de Bruxelles.


Arbres et Arbustes :

 Taillez les vieux hortensias.
Aérez la terre au pied des arbustes.
Vers le milieu du mois, il est temps de s'attaquer à la taille des arbustes à floraison estivale, qui fleurissent sur le bois de l'année (althéa, buddléia...). Une taille d'éclaircissage peut être suffisante; une taille sévère provoquera le renouvellement complet des branches et sera bien supportée. Attention! Ne touchez pas à ceux qui fleurissent au début du printemps (lilas, forsythia...).

Anticipez les plantations: préparez dès maintenant les trous qui recevront vos plantes de bruyères (rhododendrons).

Taillez court la glycine (à 15-20 cm des branches principales).
Ne laissez pas la neige s'accumuler sur les branches des camellias.
Supprimez avec une brosse dure (attention aux métal !) les mousses et lichens qui envahissent le tronc des arbres.

La bonne époque pour planter les grimpantes (en dehors des périodes de gel).
Transplantez les arbres et arbustes mal placés.

 Rosiers

Taillez à trois yeux les rosiers buissons et anciens.
Taillez modérément les rosiers non-remontants (à floraison unique) : supprimez les branches mortes ou manquant de vigueur, ainsi que les tiges portant des fleurs fânées.
Plantez les rosiers livrés en racines nues ou en mottes s'il ne gèle pas.
Plantation du rosier à racines nues
le Douaire Lahayville.
Incorporez en surface un engrais spécial rosiers (riche en magnésie).

Pelouse

De la mousse dans le gazon ? Ne vous jetez pas sur le sulfate de fer vendu un peu partout : lisez nos conseils pour éliminer la mousse sur votre pelouse.
Repérez si des flaques se forment sur la pelouse, et améliorez le drainage.




Le Douaire...