Au coeur du Parc de Lorraine, à proximité du Lac de Madine, sur la commune de Lahayville : Le Douaire. Projet privé de renaturation faune et flore sur une surface de plus de 3 hectares en entretien biologique depuis 2002. Le Douaire est classé zone naturelle remarquable et refuge LPO. Zone humide, haies, verger type conservatoire, baies, ça pousse en Lorraine. Conseils, presentation des plantations, suivi du developpement, recettes anciennes. L'ACTU en directe pour vivre mieux chaque jour.
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jeudi 19 février 2015
mercredi 11 février 2015
jeudi 23 octobre 2014
Comment compenser son blog en emprunte carbone, le geste écologique de votre blog. Bonial. Mon Arbre le Douaire est neutre en carbone.
Vous retrouvez ce symbole sur le blog du Douaire :
Aussi, vous trouverez ci-dessous la finalité de la démarche par un mail de Bonial.
Vous aussi participez...
Bien sûr, nous soutenons cette démarche qui rejoint celle du Douaire / Lahayville.
Présentation des plantation un arbre pour un Blog de Bonial |
**********************************************
L'Opération PETITS GESTES ECOLOS :
Un blog pour un arbre !
Bonjour Cedric Deville, Bonial a le plaisir de vous annoncer que
les 1 000 arbres de l'opération Blog Zéro Carbone
ont été plantés dans la commune de Gévezé en Bretagne grâce l'engagement de tous les participants au projet de Petits Gestes Ecolos !
ont été plantés dans la commune de Gévezé en Bretagne grâce l'engagement de tous les participants au projet de Petits Gestes Ecolos !
L’opération un Blog pour un arbre de Bonial / Mon Arbre. Le Douaire. lahayville. |
Mille arbres en plus...
Ne nous arrêtons pas là !
Votre activisme et votre engagement encouragent Bonial à poursuivre ses efforts en matière d'écologie.
Petits Gestes Ecolos lance donc une deuxième opération Blog Zéro Carbone pour la plantation de 1000 arbres supplémentaires !
Comme pour la première action, vos talents de blogueurs sont vivement sollicités pour soutenir cette nouvelle
opération en relayant cette dernière news sur votre blog.
Vous pouvez ajouter ce badge et son lien sur votre blog. |
Le Saviez-vous ?
· D’après le Ministère du Développement Durable et
de l’Ecologie,
850 000 tonnes de courriers non adressés, dont 80% sont des prospectus publicitaires, sont distribués chaque année dans vos boites aux lettres.
Ces courriers non adressés correspondent en moyenne chaque année à31 kg par foyer.
850 000 tonnes de courriers non adressés, dont 80% sont des prospectus publicitaires, sont distribués chaque année dans vos boites aux lettres.
Ces courriers non adressés correspondent en moyenne chaque année à
· Chaque année, de 130 000 à 150 000 km2 de forêt
disparaissent, ce qui équivaut à environ 200 km² de forêts abattues
quotidiennement dans le monde et à 36 terrains de football par minute !
Dans un même temps, la forêt française croît de 26 m2 chaque seconde et
occupe actuellement 28% du territoire.
Rendez vous sur le site de Bonial pour plus de news écolos !
Rendez vous sur le site de Bonial pour plus de news écolos !
Le Douaire...
samedi 1 juin 2013
L'amarante Amaranthus : cauchemar de Mosanto et des OGM : remise en question : La Douaire : Lahayville.
L'amarante : le cauchemar et UNE des remises en question de l'OGM : Mosanto : dégoût. Le Douaire. mon Arbre : Lahayville; |
Cette plante est en train de faire tourner les beaux rêves de Monsanto en cauchemars.
Les OGM, pour Monsanto, c’est la réponse absolue à la prédation des insectes.
Pour les écologistes, et pour beaucoup de citoyens responsables, les OGM sont une menace pour l’environnement.
Mais là où tous les militants du monde se cassent les dents contre le puissant loybby OGM, une petite plante fait de la résistance.
L’amarante est une plante bien connue de nos ancêtres, puisque les Incas la considéraient comme une plante sacrée.
Mais pour le lobby OGM, c’est plutôt une « sacrée » plante.
Chaque plante produit environ 12.000 graines par an, et les feuilles contiennent des vitamines A, C et des sels minéraux.
Elle est même plus riche en protéine que le soja, pourtant considéré comme champion en la matière.
Les diététiciens affirment que la protéine de l’amarante est de qualité supérieure à celle du lait de vache.
Ils conseillent d’utiliser les graines moulues d’amarante, mélangées à celle du blé pour faire du pain à qui elles donnent un délicieux goût de noisette.
Mais revenons aux OGM.
La scène du « drame » s’est tenue aux USA, à Macon, en Géorgie.
Un agriculteur remarqua en 2004 que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait généreusement ses plants de soja.
Les champs victimes de cette amarante comportaient une semence qui avait reçu un gène de résistance Roundup.
Depuis cette date, le phénomène s’est étendu à d’autres états : la Caroline du Sud, et du Nord, l’Arkansas, le Tenesse et le Missouri.
Le 25 juillet 2005, the Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés avaient transité vers les plantes naturelles, créant ainsi une graine résistante aux herbicides.
Ce que confirment les experts du CEH (centre for ecology and hydrology), et ce qui contredit les affirmations des pro-OGM qui ont toujours prétendu qu’une hybridation entre une plante génétiquement modifiée, et une plante naturelle était impossible.
Pour le généticien britannique, Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation ».
La seule solution qu’il restait aux agriculteurs était d’arracher les plants d’amarante à la main.
Sauf que cette plante s’enracine très profondément, rendant cette solution quasi impossible à réaliser.
Du coup, les agriculteurs ont renoncé à cet arrachage.
5000 hectares ont été à ce jour purement et simplement abandonnés, et 50.000 autres hectares sont menacés.
Depuis, ils sont de plus en plus nombreux ces agriculteurs américains qui renoncent à utiliser les plants OGM, d’abord parce qu’ils coûtent de plus en plus chers, et que la rentabilité est de mise en agriculture comme ailleurs, et enfin parce que l’efficacité des OGM est contestable au vu de ce qui est en train de se passer.
Pour Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja, à Dudley, Missouri, personne ne demande plus de graines Monsanto, au point que les graines OGM ont purement et simplement disparu de son catalogue.
Pourtant, cela représentait il y a peu 80% de son catalogue.
Il constate que les agriculteurs retournent aujourd’hui à l’agriculture traditionnelle.
Les OGM, pour Monsanto, c’est la réponse absolue à la prédation des insectes.
Pour les écologistes, et pour beaucoup de citoyens responsables, les OGM sont une menace pour l’environnement.
Mais là où tous les militants du monde se cassent les dents contre le puissant loybby OGM, une petite plante fait de la résistance.
L’amarante est une plante bien connue de nos ancêtres, puisque les Incas la considéraient comme une plante sacrée.
Mais pour le lobby OGM, c’est plutôt une « sacrée » plante.
Chaque plante produit environ 12.000 graines par an, et les feuilles contiennent des vitamines A, C et des sels minéraux.
Elle est même plus riche en protéine que le soja, pourtant considéré comme champion en la matière.
Les diététiciens affirment que la protéine de l’amarante est de qualité supérieure à celle du lait de vache.
Ils conseillent d’utiliser les graines moulues d’amarante, mélangées à celle du blé pour faire du pain à qui elles donnent un délicieux goût de noisette.
Mais revenons aux OGM.
La scène du « drame » s’est tenue aux USA, à Macon, en Géorgie.
Un agriculteur remarqua en 2004 que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait généreusement ses plants de soja.
Les champs victimes de cette amarante comportaient une semence qui avait reçu un gène de résistance Roundup.
Depuis cette date, le phénomène s’est étendu à d’autres états : la Caroline du Sud, et du Nord, l’Arkansas, le Tenesse et le Missouri.
Le 25 juillet 2005, the Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés avaient transité vers les plantes naturelles, créant ainsi une graine résistante aux herbicides.
Ce que confirment les experts du CEH (centre for ecology and hydrology), et ce qui contredit les affirmations des pro-OGM qui ont toujours prétendu qu’une hybridation entre une plante génétiquement modifiée, et une plante naturelle était impossible.
Pour le généticien britannique, Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation ».
La seule solution qu’il restait aux agriculteurs était d’arracher les plants d’amarante à la main.
Sauf que cette plante s’enracine très profondément, rendant cette solution quasi impossible à réaliser.
Du coup, les agriculteurs ont renoncé à cet arrachage.
5000 hectares ont été à ce jour purement et simplement abandonnés, et 50.000 autres hectares sont menacés.
Depuis, ils sont de plus en plus nombreux ces agriculteurs américains qui renoncent à utiliser les plants OGM, d’abord parce qu’ils coûtent de plus en plus chers, et que la rentabilité est de mise en agriculture comme ailleurs, et enfin parce que l’efficacité des OGM est contestable au vu de ce qui est en train de se passer.
Pour Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja, à Dudley, Missouri, personne ne demande plus de graines Monsanto, au point que les graines OGM ont purement et simplement disparu de son catalogue.
Pourtant, cela représentait il y a peu 80% de son catalogue.
Il constate que les agriculteurs retournent aujourd’hui à l’agriculture traditionnelle.
Comme le dit Sylvie Simon dans un article à paraître dans la revue « votre santé ».
L’amarante est en quelque sorte un boomerang renvoyé par la nature à Monsanto.
« Elle neutralise le prédateur, et s’installe dans des lieux ou elle pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson, et les hautes terres tropicales et n’a pas de problèmes ni avec les insectes, ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimique ».
Les plantes vont-elles réussir là où tous les militants anti OGM du monde ont jusqu’à présent échoué ?
L’amarante est en quelque sorte un boomerang renvoyé par la nature à Monsanto.
« Elle neutralise le prédateur, et s’installe dans des lieux ou elle pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson, et les hautes terres tropicales et n’a pas de problèmes ni avec les insectes, ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimique ».
Les plantes vont-elles réussir là où tous les militants anti OGM du monde ont jusqu’à présent échoué ?
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