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mercredi 25 décembre 2013

Faut il parler aux plantes ?


                          

Faut il parler aux plantes ?


Faut-il parler aux plantes : Mon Arbre le Douaire.

Des choux de 35 kilos, des oignons gros comme une tête humaine, des maïs hauts de 5 mètres , des blettes d’un mètre et demi : ce sont les plantes que fait pousser Don José Carmen Garcia, en leur parlant.

Ce sont deux cinéastes français, Yvo Perez Barreto et Marie Ange Baratier qui ont fait la découverte de ce paysan hors du commun, lors d’un tournage documentaire sur la médecine traditionnelle au Mexique. 

Le film, un documentaire de 52 minutes et un livre ont raconté cette histoire incroyable.

Don José Carmen leur expliqua sa méthode : 

« les gens qui ne développent par leur culture sont ceux qui ne changent pas leur manière de penser. 


Les plantes ont une vie comme n’importe quelle personne, n’importe quel animal, n’importe quelle chose. Il faut apprendre à les connaître, les traiter avec douceur, elles le comprennent, elles savent. ».

Et il ajoutait : « je ne crois pas aux fertilisants chimiques parce qu’ils brûlent la terre. Pour moi, le meilleur fertilisant, c’est la conversation avec les plantes. La terre s’alimente avec les déchets de la dernière récolte ».

Alertés, les fonctionnaires du Ministère de l’agriculture se rendirent sur place. 

Se refusant à croire la théorie de Don José, il prélevèrent des échantillons de la terre de son potager. 

Hélas, ces analyses ne donnèrent aucun résultat particulier qui pourrait expliquer ces récoltes géantes.


Du coup, ils invitèrent don José Carmen à cultiver selon sa méthode, dans un autre lieu : la vallée de Tamaulipas. 


Cette terre, très différente que celle que travaillait notre paysan dans son village, donna les mêmes résultats.


 Habituellement, la production d’oignons dans cette vallée atteignait les 8 tonnes à l’hectare.
Don José Carmen se mit à parler aux plantes, calcula les vents, et l’intensité solaire, sans jamais irriguer les sillons. 

Il donnait à boire à ses plantes comme à n’importe quel être humain.


 Résultat, il obtint 150 tonnes d’oignons à l’hectare, et un certificat des fonctionnaires de l’agriculture, éberlués.
Parler aux arbres, aux plantes.

Pour lui, ce sont les plantes elles-même qui peuvent nous apprendre comment les cultiver. Il communique avec elles, il dit aussi « utiliser l’énergie temporelle, d’une autre dimension » suivant ses propres mots. 

Au Mexique, tout le monde le sollicite de l’agriculteur au chimiste en passant par l’agronome ou l’ingénieur.
Au début raconte-t-il, j’ai commencé à m’asseoir auprès des plantes et je me suis mis à les observer. 

Puis je leur ai demandé de m’aider. Je suis convaincu que les plantes ont une forme d’intelligence qui leur permet de communiquer avec nous, il suffit de les écouter.
Une autre chose que Don José sait faire, c’est planter des arbres pour attirer la pluie. 


En choisissant minutieusement les essences des arbres qu’il va planter, dans un tracé polygonal. 
Cette expérience a été menée à l’université de Chapingo, avec laquelle il a passé une convention de recherche. 

Et çà marche. Hélas, cette expérience a été menée alors que le recteur de l’université allait prendre sa retraite. 

Et le premier geste du nouveau recteur a été de couper tous ces arbres. 
Mais il reste le film, et le livre puisque en 1998, Perez Barreto Yvo a publié : « L’homme qui parle avec les plantes » aux Presses du Châtelet (on peut se procurer le documentaire auprès du même éditeur).

Les plantes et les arbres ne seraient pas vraiment sensibles aux paroles, ni à leurs  contenus, mais à l'intonation et l’énergie que vous y donnez. 

N'oubliez pas, elles communiquent par des ondes, des senteurs, l’énergie en quelques sorte. 

Faites le test, du Mozart à coté d'une fleur, et du Rock (dance etc..) à coté d'une autre, vous verrez quelle plante se dirige vers les écouteurs et laquelle s'en éloigne.

Comme le dit Jim Nollman « il ne sert à rien de lutter contre la pollution, protéger l’environnement, si à la base, notre perception fondamentale de ce dernier n’a pas changé d’abord au plus profond de chacun d’entre nous, puis au cœur des responsables économiques scientifiques et politiques ».



Une remarque, une question ???

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Le Douaire...

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